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NAMs出版プロジェクト: パリ・コミューンCommune de Paris 1871
http://nam-students.blogspot.jp/2017/02/paris1870.htmlNAMs出版プロジェクト: フランスの内乱
http://nam-students.blogspot.jp/2017/09/blog-post_27.htmlところで、この真の敵[資本主義]を軽視した最大の責任の一半は、プルードン主義者のジュールドを
「代表」とする「財政委員会」にある。とくにフランス銀行に派遣されたベレー[Charles Beslay]は、理事の
ド=プルーク[Alexandre de Ploeuc]と馴れ合い、切りつめられた予算の枠内で毎日の軍事費と市政運営費を賄なわな
ければならないコミューンのために、領収書と引換えに、パリ市の貸方勘定の中から四回にわ
たって合計約二〇〇〇万フランを引き出したに過ぎない。ド=プルーク自身「ベレー氏の協力
がなければ、銀行はもはや存在しないだろう」と告白し、コミューン崩壊後ベレーの減刑運動
をしたほどである。
もしコミューンがフランス銀行を差し押え、その運営を管理したならば、フランスの資本主
義経済は麻痺し、甚大な打撃を受けたことであろう。事実は逆に、「コミューンが死なない程度
のものを手に入れている間に、フランス銀行は、ヴェルサイユがパリと闘うために銀行あてに
振り出した二億五七六三万七〇〇〇フランの手形を引き受けた」(リサガレ[Prosper-Olivier Lissagaray])のである。
エンゲルスや多くの史家は、フランス銀行対策をコミューン敗北の重大な要因の一つとして
いる。
同159~160頁
La Commune et la Banque de France - Association des Amies et Amis de la Commune de Paris 1871
http://www.commune1871.org/?La-Commune-et-la-Banque-de-FranceAvant la proclamation de la Commune le 28 mars 1871, les deux délégués aux Finances du Comité central de la Garde nationale, François Jourde et Eugène Varlin, obtiennent de Rouland, gouverneur de la Banque de France, puis — après le départ le 23 mars, sur ordre de Thiers, de Rouland pour Versailles — d’Alexandre de Ploeuc, sous-gouverneur, le paiement d’avances imputées sur le compte de la Ville de Paris « pour parfaire le paiement des indemnités dues aux gardes nationaux, à leurs femmes et enfants. » [5] Ils reçoivent ainsi, entre le 20 et le 28 mars, six avances, toutefois davantage étalées dans le temps qu’ils l’auraient souhaité, pour un montant total de 2,5 millions de francs. Le Conseil général donne son accord et consent une large délégation de pouvoir aux gouverneurs. Les régents veulent avant tout gagner du temps et éviter un conflit qui pourrait amener la Garde nationale à envahir la Banque.
Il faut préciser que le Conseil général a à sa tête un gouverneur et deux sous-gouverneurs, tous trois nommés par le gouvernement, et qu’il comprend quinze autres membres, les régents, élus, eux, par les actionnaires. En 1871, les régents sont sept banquiers, cinq industriels et trois receveurs généraux.
Le 28 mars, la Commune est proclamée et Charles Beslay, son doyen d’âge, est élu à la commission des Finances, en compagnie de Jourde, de Varlin, de V. Clément et de Régère.
Le 30 mars, la Commune nomme Theisz à la direction provisoire des postes et Beslay à la Banque de France, mais il n’est pas précisé qu’il l’est en tant que gouverneur. Il faut dire que Beslay et de Ploeuc se sont rencontrés la veille et que ce dernier a convaincu Beslay de se contenter d’un poste d’observation, en tant que simple « délégué de la Commune ».
[Charles Beslay] [Alexandre de Ploeuc]
En l’absence de Rouland, la Commune aurait très bien pu nommer un gouverneur. Certains, comme Rigault, en auraient sans doute été partisans, « mais les questions d’affaires, de crédit, de finance, de banque […] avaient besoin du concours d’hommes spéciaux, qui ne se trouvaient qu’en très petit nombre à la Commune. […] De surcroît, les questions financières […] ne sont pas […] perçues comme les problèmes essentiels du moment. Dans l’immédiat, seul importe que l’argent rentre. » [6]
Beslay va de plus en plus apparaître comme le « défenseur de la Banque ». Alors que la Commune, par décret paru au Journal Officiel du 3 avril 1871, décide de dissoudre le bataillon spécial de la Banque de France et de l’intégrer dans la Garde nationale, Beslay soutient les manoeuvres de son commandant et du sous-gouverneur pour en éviter l’application : au lieu d’être dissous, le bataillon est finalement modernisé !
Suite au décret sur les otages du 6 avril, Raoul Rigault songe à faire arrêter le marquis de Ploeuc, tout désigné comme « complice du gouvernement de Versailles ». Beslay prévient ce dernier et le met en garde : de Ploeuc peut ainsi se réfugier chez l’un des régents et disparaître de la Banque pendant plusieurs semaines. Arrêter le sous-gouverneur eût été pourtant pour la Commune une nouvelle occasion de devoir nommer une équipe de gouverneurs qui lui soient fidèles. Le 12 mai, Beslay intervient à nouveau pour que la Banque échappe à la perquisition que s’apprête à réaliser, avec l’assistance de deux compagnies de gardes nationaux, un commissaire de police pourtant détenteur d’un mandat officiel.
Au lieu de vouloir en prendre le contrôle, la Commune, inspirée par Beslay, fait au contraire tout pour maintenir l’intégrité de la Banque de France et pour garantir son indépendance. La seule exigence qu’elle exprime est d’en obtenir les avances qui lui permettent de maintenir l’équilibre budgétaire sans devoir interrompre le paiement de la solde des gardes nationaux. À ce titre, pendant les soixante douze jours de son existence, la Commune reçoit 16,7 millions de francs : les 9,4 millions d’avoirs que la Ville avait en compte et 7,3 millions réellement prêtés par la Banque. Au même moment, les versaillais reçoivent 315 millions de francs du réseau des 74 succursales de la Banque de France [7] !
…
On comprend et l’on approuve le jugement de Marx sur la Commune, mais la lettre à Nieuwenhuis est écrite dix ans après 1871 ! Comme le précise Engels dans son introduction à la réédition de La guerre civile en France en 1891 : « bien des choses [ont] été négligées que, selon notre conception d’aujourd’hui, la Commune aurait dû faire. Le plus difficile à saisir est certainement le saint respect avec lequel on s’arrêta devant les portes de la Banque de France. Ce fut d’ailleurs une lourde faute politique. La Banque aux mains de la Commune, cela valait mieux que dix mille otages. Cela signifiait toute la bourgeoisie française faisant pression sur le gouvernement de Versailles pour conclure la paix avec la Commune. [17] »
Les analyses socialistes sur l’illusion du réformisme, l’inévitable lutte des classes et l’urgence à s’attaquer aux privilèges des possédants n’ont pas encore cours en 1871. Les membres de la Commune sont plus proches de Proudhon que de Marx. « Le système de la Commune et le mien se traduisent par ce mot sacré : respect de la propriété, jusqu’à sa transformation. Le système du citoyen Lissagaray aboutit à ce mot répulsif : spoliation [18] » : à la Commune, Beslay n’est certainement pas le seul de cet avis !
…
[1] Lettre du 22 février 1881 de Karl Marx à Nieuwenhuis.
[2] Prosper-Olivier Lissagaray, Histoire de la Commune de 1871, Paris, La Découverte / Poche, 2000, p. 202.
…
[5] Éric Cavaterra, La Banque de France et la Commune de Paris (1871), Paris, L’Harmattan, 1998, p. 56 (citant : ABF, Évènement de 1870-71, Tome X, p.5 bis, (Jourde et Varlin), reçu de 150 000 francs, 22 mars 1871).
[6] Éric Cavaterra, Idem, p. 88-89.
[7] Notamment de la succursale du Mans. C’est pour assurer ces financements que Thiers avait exigé la présence de Rouland à Versailles.
…
[17] Éric Cavaterra, Ibid., p. 277 (citant l’introduction d’Engels à l’édition allemande de 1891).
[18] Charles Beslay, op. cit., p. 107.
Google 翻訳
プルードン主義者の失敗にされているが以下だとニュアンスが違う。
The Paris Commune: A Revolution in Democracy - Donny Gluckstein - Google ブックス2011
https://books.google.co.jp/books?id=ArfbAgAAQBAJ&pg=PA143&dq=paris+commune+proudhon+Jourde&hl=ja&sa=
X&ved=0ahUKEwiW3dOzyKPSAhVBipQKHe9CBGYQ6AEIIDAB#v=onepage&q=paris
%20commune%20proudhon%20Jourde&f=false
著者: Donny Gluckstein
表向きは力づくで銀行を摂取しなかったプルードン派の失敗になっているが、武力闘争の限界が決定的になった。
つまり、プルードンの正しさが証明された。銀行の重要性はプルードンが言ってきたことだ。
パリ・コミューン - Wikipedia
パリ・コミューン(仏: Commune de Paris、英: Paris Commune)は、フランス・パリ市の自治市会(革命自治体)のことであるが、ここでは国防政府のプロイセンとの和平交渉に反対し、同時期にフランス各地で蜂起したコミューン(仏: la Commune)のうち普仏戦争後の1871年3月26日に、史上初の「プロレタリアート独裁」による自治政府を宣言した1871年のパリのコミューン(仏: La Commune de Paris 1871)について説明する。
このパリ・コミューンは約2ヶ月でヴェルサイユ政府軍によって鎮圧されたが、後の社会主義、共産主義の運動に大きな影響を及ぼし、短期間のうちに実行に移された数々の社会民主主義政策は、今日の世界に影響を与えた。マルセイユ(1870年9月5日宣言)、リヨン(1870年9月4日宣言)、サン・テティエンヌ(1871年3月26日宣言)、トゥールーズ、ナルボンヌ(1871年3月30日宣言)、グルノーブル、リモージュなどの、7つの地方都市でも同様のコミューンの結成が宣言されたが、いずれも短期間で鎮圧された[1]。
https://ja.m.wikipedia.org/wiki/%E3%83%91%E3%83%AA%E3%83%BB%E3%82%B3%
E3%83%9F%E3%83%A5%E3%83%BC%E3%83%B3#.E3.82.B3.E3.83.9F.E3.83.A5.E3.
83.BC.E3.83.B3.E2.80.95.E8.8B.A6.E6.88.A6.E3.81.A8.E5.86.85.E7.B4.9B.E3.81.AE.E7.
パリ・コミューン - Wikipedia
https://ja.wikipedia.org/wiki/パリ・コミューン#.E3.82.B3.E3.83.9F.E3.83.A5.E3.83.BC.E3.83.B3.E2.80.95.E8.8B.A6.E6.88.A6.E3.81.A8.E5.86.85.E7.B4.9B.E3.81.AE.E7.99.BA.E7.94.9Fコミューンの高潔なる精神性の発露とは裏腹に、前線では敗戦に次ぐ敗戦で窮地に陥る。ブランキのようにヴェルサイユ側で捕えれ投獄中の者やまもなく戦死した者が続出したため、政府は常時オーバーワークの状態で行政上の負担軽減の必要が生じた。4月16日補欠選挙を実施して、このときの選挙では軍人のクリュズレ、写実主義の芸術家ギュスターヴ・クールベ、マルクスの娘婿となるジャーナリストのシャルル=ロンゲ、インターナショナル (歌)の作詞家となる詩人のポティエら20名の議員が選出された。ドレクリューズの発案によって政府部内の改組が行われて行政部の執行権が強化され、9名の閣僚が委員会責任者として指名された。ジュールド(財務)、クリュズレ(軍事)、プロトー(司法)、リゴー(保安)、ヴィアール(食糧供給)、フランケル(労働・工業・交換)、パスカル=グルーセ(外務)、アンドリュー(公共事業)、ヴァイアン(教育)が選出された。プルードン主義者のジュールドが責任者を務める財務部がヴェルサイユ側と内通しているフランス銀行や大手金融機関の預金差し押さえなどの緊急金融措置を渋るなど怠慢な姿勢を見せ、これに業を煮やした各部が政府に反抗して政府部内に革命独裁を志向する機運が生じ始めていった。政府内でのドレクリューズやブランキ派の発言力はいよいよ強まり、政府権限の強化を求めるこの種の機運が高まったものの、財務委員長の無策とこれに反発する強硬派の動きはコミューン政府の統一性に亀裂を生じさせていった。
Commune de Paris (1871) — Wikipédia
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Commune_de_Paris_(1871)Paris Commune - Wikipedia
https://en.m.wikipedia.org/wiki/Paris_CommuneThe Commune named Francis Jourde as the head of the Commission of Finance. A former clerk of a notary, accountant in a bank and employee of the city's bridges and roads department, Jourde maintained the Commune's accounts with prudence. Paris's tax receipts amounted to 20 million francs, with another 6 million seized at the Hotel de Ville. The expenses of the Commune were 42 million, the largest part going to pay the daily salary of the National Guard. Jourde first obtained a loan from the Rothschild Bank, then paid the bills from the city account, which was soon exhausted.
The gold reserves of the Bank of France had been moved out of Paris for safety in August 1870, but its vaults contained 88 million francs in gold coins and 166 million francs in banknotes. When the Thiers government left Paris in March, they did not have the time or the reliable soldiers to take the money with them. The reserves were guarded by 500 national guardsmen who were themselves Bank of France employees. Some Communards wanted to appropriate the bank's reserves to fund social projects, but Jourde resisted, explaining that without the gold reserves the currency would collapse and all the money of the Commune would be worthless. The Commune appointed Charles Beslay as the Commissaire of the Bank of France, and he arranged for the Bank to loan the Commune 400,000 francs a day. This was approved by Thiers, who felt that to negotiate a future peace treaty the Germans were demanding war reparations of five billion francs; the gold reserves would be needed to keep the franc stable and pay the indemnity. Jourde's prudence was later condemned by Karl Marx and other Marxists, who felt the Commune should have confiscated the bank's reserves and spent all the money immediately.[45]
Charles Beslay - Wikipedia
https://en.m.wikipedia.org/wiki/Charles_BeslayCharles Victor Beslay (1795, Dinan, Côtes-d'Armor – 1878, Neuchâtel) was the oldest member of the Paris Commune.
An engineer, he was councillor general of Morbihan in 1830. Later, in Paris, he founded a steam machine factory, and tried to apply the ideas of his friend Proudhon on the association of capital to work. After the 1848 Revolution the provisional government named him Commissioner of the Republic in Morbihan. He was part of the Constituent Assemblywhere he suppressed the insurgents of the insurgency of June 1848. He did not sit in the legislative assembly. In the Second Empire, he was bankrupted creating a bank which exchanged and discounted using Proudhonian ideas. in 1866, he joined the International Workingmen's Association.
During the siege of Paris by the Germans (September 1870 – March 1871), he was delegate to the Comité central républicain des Vingt arrondissements with title of the 6th arrondissement. On 26 March he was elected to the Conseil de la Commune of the 6th arrondissement. On 29 March he became a member of the Finance Commission and became delegate of the Commune for the Banque de France. At the end of May 1871, due to a free pass from the Thiers government, he became a refugee in Switzerland after the failure of the Commune. In December 1872, the war council made no case against him.
Charles Beslay — Wikipédia
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Charles_BeslayCharles Victor Beslay est né à Dinan (Côtes-du-Nord, actuellement Côtes-d'Armor) le [1] et mort à Neuchâtel (Suisse) en 1878. C'est une personnalité de la Commune de Paris dont il est le doyen d'âge.
Fils d'un homme de loi, il devient ingénieur. Dans les années 1820, il participe à la charbonnerie[2]. Il est élu conseiller général du Morbihan en 1830. Il est élu député le 5 juillet 1831 et est réélu le 21 juin 1834. A Paris, il fonde une usine de machine à vapeur, où il essaie d'appliquer les idées de son ami Proudhon sur l'association du capital et du travail. Après la Révolution de 1848, le gouvernement provisoire le nomme Commissaire de la République dans le Morbihan. Il est élu à l'Assemblée constituante, où il se montre partisan de la répression contre les insurgés de juin 1848. Il ne siège pas à l'Assemblée législative. Sous le Second Empire, il se ruine en créant une banqued'échange et d'escompte selon les idées proudhoniennes. Il adhère en 1866, à l'Association internationale des travailleurs.
Durant le siège de Paris par les Allemands (septembre 1870 - mars 1871), il est délégué au Comité central républicain des Vingt arrondissements au titre du VIe arrondissement. Le 26 mars, il est élu au Conseil de la Commune par le VIe arrondissement. Le 29 mars, il est membre de la Commission des Finances et devient le délégué de la Commune auprès de la Banque de France. Fin mai 1871, grâce à un laissez-passer du gouvernement d'Adolphe Thiers, il peut se réfugier en Suisse après l'échec de la Commune. En décembre 1872, le conseil de guerre rend un non-lieu à son encontre.
François Jourde — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/François_JourdeFrançois Jourde est né le à Chassagne (Puy-de-Dôme) et mort le à Nice[1]. C'est une personnalité de la Commune de Paris.
Clerc de notaire, il fut comptable dans une banque, puis employé des Ponts et chausséesde la Ville de Paris.
Actif pendant la Commune de Paris, il est délégué au Comité central de la Garde nationale(160e bataillon). Lors des élections du 26 mars il est élu au Conseil de la Commune pour le Vearrondissement. Nommé Délégué aux finances, sa pondération de bon gestionnaire et son respect scrupuleux de la Banque de France lui attirent la rancune de nombreux communards, mais il arrive à payer la solde des Gardes nationaux, faisant ainsi vivre près de 500 000 parisiens. Les tribunaux versaillais lui en montreront peu de gratitude, puisqu'il est arrêté le 30 mai, condamné, en septembre 1871, à la déportation simple en Nouvelle-Calédonie à l'île des Pins. Il est transporté à bord de la «Guerrière» qui atteint l'île des Pins en novembre 1872.
Bien vite ses compétences de gestionnaire sont utilisées dans la colonie, il est autorisé à rejoindre Nouméa en octobre 1873 où il trouve un emploi de comptable. Il fonde avec Juliette Lopez (compagne du docteur Rastoul) l'Union, une société de secours mutuel et d'assistance aux déportés dans le besoin.
Il s'évade en mars 1874 avec Achille Ballière, Charles Bastien, Paschal Grousset, Olivier Pain et Henri Rochefort. Installé en Angleterre, il participe à une souscription destinée aux victimes de la répression versaillaise. Il s'installe à Strasbourg (alors en Allemagne), puis à Genève, Bruxelles et Londres de nouveau. Revenu en France après l'amnistie de 1880, il se montre particulièrement actif dans la solidarité avec les Communards amnistiés.
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