木曜日, 5月 17, 2018

http://musee-franche-comte.com/gallery_files/site_1/814/5759/dossier-presse-expo-courbet-proudhon.pdf

 
 https://www.google.co.jp/search?q=pamphlet++courbet+1863+exhibition+in+England,+proudhon&safe=off&tbm=isch&prmd=inmv&source=lnms&sa=X&ved=0ahUKEwjV6uqwhY3bAhXHJJQKHV5cBOMQ_AUIESgB&biw=768&bih=928&dpr=2#imgrc=40EYYgmlydQ6UM:&isa=y

作者不明

Nicola Chiaromonte's rebuttal of J. Salwyn Schapiro's article, Pierre-Joseph Proudhon, Harbinger of Fascism. Published in politics, January 1946. 

Said Fouché: "Give me a scrap of paper with a man’s signature, and I will have him executed”. This may be a basic principle of State Police procedure, but in intellectual affairs it is simply no good.

By quotations carefully extracted from their context, Mr. Schapiro1 attempts to prove that Proudhon was: 1) “a harbinger of Fascist ideas... (who) sounded the Fascist note of a revolutionary repudiation of democracy and socialism... the intellectual spokesman of the French middle- class” ; 2) a supporter of dictatorship in general, and of Louis Napoleon in particular; 3) an antisemite; 4) an enemy of the American Negroes; 5) an advocate of war; 6) an enemy of the Common Man; 7) an antifeminist.


Proudhon

Jeudi 30 juin - 18h

Etude et Archives

Présentation commentée de plusieurs manuscrits inédits de Proudhon, par Edward Castleton

Marc Trapadoux is Examining the Book of Prints - Gustave Courbet.

プルードンではない

Marc Trapadoux Examinando o Livro com Imagens - Marc Trapadoux is Examining the Book of Prints - Marc Trapadoux examinant un livre d'estampes

Courbet, Gustave

(1848)

Musée d'Art moderne | Local indefinido

Dimensões da obra: 41 x 32 cm

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Responsável: William Pereira 




https://books.google.co.jp/books?id...
Gerstle Mack, Gustave Courbet, Marcel Zahar - 1950 - スニペット表示 - 他の版
COURBET informed his family in July 1863 that the statue of the Bullhead Fisher was being cast in iron and would be ... book linking my art to philosophy and his work to mine; it is a pamphlet to be sold at my exhibition in England, with his ...




writing an important work, which connects my art to philosophy, and his work to mine. It is a booklet which will be sold at my exhibition in England, with his portrait as well as mine, showing two men who have synthesised society, one in philosophy, the other in art, and both from the same province. I have seven more pages to transcribe for him before six o'clock [ ... ] I have never written so much in my life. If you saw me, you'd die laughing. At last we'll have an established treatise on modern art, and the trail, blazed by me, applied to proudhonian philosophy." 
The treatise by Proudhon, which was supposed to be twelve pages long, then 160, was in fact 376 pages long when it was published in his Posthumous Works under the title Du Principe de I'Art et de sa destination sociale (On the Principle of Art and its Social Purpose).

Gustave Courbet Georges Riat

前表紙

Parkstone International2012/05/08 - 256 ページ
Gustave Courbet (Ornans, 1819 – La Tour de Peilz, Suisse, 1877) Ornans, sa ville natale, se situe près la ravissante vallée du Doubs, et c'est là que jeune garçon, et plus tard en tant qu'homme, il acquit l'amour du paysage. Il était par nature révolutionnaire, un homme né pour s'opposer à l'ordre existant et affirmer son indépendance ; il possédait la rage et la brutalité qui font le poids d'un révolutionnaire en art comme en politique. Et son esprit de révolte se manifesta dans ces deux directions. Il s'installa à Paris pour étudier l'art. Toutefois, il ne se fixa pas à l'atelier d'un maître influent en particulier. Dans sa province natale déjà, il n'avait pas cherché à se former à la peinture, et préférait maintenant étudier les chefsd'oeuvre exposés au Louvre. Au début, ses oeuvres n'étaient pas assez caractéristiques pour susciter une quelconque opposition, et elles furent admises au Salon. Puis il produisit L'Enterrement à Ornans, qui fut violemment pris d'assaut par les ritiques : «Une mascarade de funérailles, six mètres de long, dans lesquels il y a plus motif à rire qu'à pleurer ». En réalité, la véritable offense des tableaux de Courbet était de représenter la chair et le sang vivants ; des hommes et des femmes tels qu'ils sont vraiment, et faisant vraiment ce qu'ils sont occupés à faire – non pas des hommes et des femmes dépourvus de personnalité et idéalisés, peints dans des positions destinées à décorer la toile. Il se défendit en disant qu'il peignait les choses telles qu'elles sont, et professa que la vérité vraie devait être le but de l'artiste. C'est ainsi que lors de l'Exposition universelle de 1855, il retira ses tableaux du site officiel et les exposa dans une cabane en bois, juste à côté de l'entrée, arborant l'intitulé en majuscules : «Courbet – Réaliste ». Comme tout révolutionnaire, c'était un extrémiste. Il ignorait délibérément le fait que chaque artiste possède sa propre vision et sa propre expérience de la vérité de la nature ; et il choisit d'affirmer que l'art n'était qu'un moyen de représenter objectivement la nature, dénué d'intentions, et non une affaire de choix ou d'arrangement. Dans son mépris pour la beauté, il choisit souvent des sujets que l'on peut sans mal qualifier de laids. Il possédait néanmoins un sens de la beauté doublé d'une aptitude aux profondes émotions, qui transparaît tout particulièrement dans ses marines. Il se révéla être un peintre puissant, au geste ample et libre, utilisant des couleurs sombres en couche épaisse, et dessinant ses contours avec une fermeté qui rendait toutes ses représentations très réelles et mouvementées.


Du principe  de  l’art  et  de  sa  destination  sociale Ce  texte  fondamental  est  publié  quelques  mois  après  la  mort  de  Proudhon  en  1865.  Il  était quasiment  achevé. En  1856,  l’écrivain  et  ami  de  Courbet    Max  Buchon  a  publié  un  «  Recueil  de  dissertations  sur  le réalisme  ».  Courbet  a  alors  l’idée  de  le  faire  rééditer  préfacé  par  un  texte  de  Proudhon.  Cela  ne se  réalise  pas  mais  les  échanges  continuent  et  à  partir  de  1863  naît  véritablement  le  projet  d’un livre  sur  les  questions  de  l’art,  de  l’esthétique  et  du  réel,  de  l’inscription  de  l’art  dans  la  société. Ce  ne  sera  pas  un  manifeste  du  Réalisme  mais  un  ouvrage  critique  construit  sur  les  expériences esthétiques  de  Proudhon  et  sur  les  réflexions  suscitées  à  l’époque  par  les  rapports  de  l’art  et  de la  société. 

Le  28  juillet  1863,  Courbet  écrit  à  son  père  :  «  En  ce  moment,  je  suis  en  correspondance  avec Proudhon.  Nous  faisons  ensemble  un  ouvrage  important  qui  rattache  mon  art  à  la  philosophie  et son  ouvrage  au  mien.  C’est  une  brochure  qui  sera  vendue  dans  mon  exhibition  en  Angleterre, avec  son  portrait  et  le  mien  :  deux  hommes  ayant  synthétisé  la  société,  l’un  en  philosophe, l’autre dans l’art, et tous deux du même pays. J’ai encore sept pages à lui transcrire avant six heures. Je vous quitte ». Dans son texte, Proudhon commente certaines œuvres de Courbet : Les Paysans de Flagey, La Fileuse endormie, L’Enterrement à Ornans, Les Baigneuses, Les Demoiselles des bords de la Seine, Les Casseurs de pierres, Vénus et Psyché, Les Curés.          Gustave Courbet - La fileuse endormie              Montpellier, Musée Fabre  Il voit dans Courbet un novateur qui représente son temps, donnant la place majeure au peuple, mais peignant surtout le temps se transformant, la réalité mais dans son devenir. Ainsi saisit-il les habitants d’Ornans, durant le fameux enterrement, dans « le déshabillé de leurs consciences » : « Les prêtres eux-mêmes enterrent maintenant sans y croire comme s’ils étaient fatigués et de l’Église et de Dieu ».   Proudhon, avec Courbet, s’oppose au courant de l’art pour l’art qui rejette, dit-il, la philosophie. Il n’affirme pas que le « réalisme » ait raison mais il constate que Courbet n’a pas soumis l’art à l’idée, fût-elle celle du « réel », soumission que Proudhon n’a jamais souhaitée, affirmant l’indépendance de la faculté esthétique en regard de l’intelligence et donc la liberté de l’artiste et de son public.  Le propos de cette deuxième partie de l’exposition est de présenter une analyse de la pensée « politico-esthétique » de Courbet, des jugements critiques qu’elle suscite chez Proudhon, et de leur commune mais différente volonté de faire un art pour tous et « jugeable » par tous, par le peuple en priorité.                     

芸術の原則とその社会的目的この基本原典は、1865年にプルードホンが死亡した数カ月後に出版されました。ほぼ完成しました。 1856年に、Courbet Max Buchonの作家と友人は、「リアリズムのエッセイの要約」を出版しました。クールベットはそれをProudhonのテキストに先行して再発行させる考えをしています。 これは実現されていないが、交換は続けられ、1863年からは、芸術、美学、現実、社会における芸術の銘の問題に関する本のプロジェクトが本当に生まれた。 それは現実主義の宣言ではなく、当時の芸術と社会の関係によって引き起こされたプルードンの美学的経験とその反省に基づいて作られた重要な仕事である。

 1863年7月28日、クールベットは父親に次のように書きました。「この瞬間、私はプルードンと通信しています。 私は、私の芸術を哲学と私の作品に結びつける重要な仕事を一緒にしています。 それはイギリスの私の展覧会で肖像画と私の展覧会で販売されるパンフレットです.2人は社会を合成し、1人は哲学者で、もう1人は芸術で、もう1人は同じ国です。 私はまだ6時前に7ページを書きます。 私はあなたを残しています。 彼のテキストでは、プルードンはクールベーの作品のいくつかについてコメントしています:フラジェリーの農民、睡眠スピナー、オルナンの埋葬、ザ・バザーズ、セーヌ川の銀行、ストーンブレーカー、金星とサイケ、治療法 ギュスターヴ・クールベット - 眠っている紡ぎ人モンペリエ、ファーブル美術館彼は時間を代表する革新者を見て、人々に主要な場所を与えますが、特に変容する時間、現実は将来を描きます。 このように、彼は有名な埋葬期間中、Ornansの住民を「彼らの良心の服を脱いでいる」と捉えている:「司祭たちは、彼らが疲れているかのように信じることなく、また教会と神のように、 。 Proudhonは、Courbetと一緒に、哲学を拒絶する芸術の芸術の流れに反対している。 彼は「現実主義」は正しかったとは言わないが、クールベットは、プルードンが望んでいなかった「本当の」提出のものであっても、アイデアにアートを提出しなかったことが分かった。インテリジェンス、したがってアーティストと聴衆の自由に関する美学教員の独立性。 この展覧会の第2部の目的は、クールベットの「政治審美的」思考、それがプルードホンで引き起こす批判的判断、そしてすべての人々のための芸術を作る共通の、しかし異なる欲求の分析を提示することです優先順位の高い人たちによる、すべての人の「愉快な」。