ライプニッツ 形而上学叙説 1686 目次 (
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参考:
1686. Discours de métaphysique; Martin and Brown (1988), Ariew and Garber 35, Loemker §35, Wiener III.3, Woolhouse and Francks 1. An online translation by Jonathan Bennett is available.
形而上学叙説 ライプニッツ-アルノー往復書簡 (平凡社ライブラリー ら 7-1) (単行本)
哲学史的に決定的著作
しかも訳はこれまでのものより圧倒的に読みやすい
ただ岩波文庫にあったような索引と詳細目次がないのは残念だ
索引はともかく目次は詳しいものがあった方がいい
例えば計26通の書簡の10番を読みたいとき、いちいちめくって探さなければならない
(叙説に関しては書簡1に37まで番号の振られたライプニッツ自身による「概要」~下に付記↓~がありp.114~119、これが目次がわりになるが、むろん頁数の記載はない)
将来の電子書籍化を視野にいれていて頁数がずれることを恐れているのかも知れないが、、、
だから岩波文庫版で安い古書を見つけた時は買っておいて損はない
併用すべきだ
参考:
神 1~ 7
実体 8~16
力学 17~22
人間の悟性 23~29
人間の意志 30~31
信仰と宗教 32~37
(叙説の論題:世界の名著68頁より。原著にこうした見出しはない)
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概要
神 1~ 7
1 神の完全性について。また、神はこのうえなく望ましいやりかたですべてをおこなうこと。(p.11)
2 神のわざに善はないとか、善と美の規則は恣意的であると主張するひとごとに反対して。(p.12)
3 神はもっと善くおこなえたはずだと考えるひとびとに反対して。(p.14)
4 神の愛は神がおこなうことについて全面的な満足と承服を要求すること。(p.16)
5 神のおこないの完全性の諸規則はいかかるものであるか。また、手段の単純さは結果の豊穣さと均衡していること。(p.17)
6 神は秩序からはずれることをいっさいおこなわず、また、規則にしたがわないような出来事は想像さえできないこと。(p.19)
7 奇跡は下位の準則に反していても、一般的秩序には合致していること。一般的意志と特殊的意志によって神が意志し容認するものについて。(p.21)
実体 8~16
8 神のはたらきを被造物のはたらきから区別するために、個体的実体の概念とはどのようなものかを説明する。(p.23)
9 どの個別の実体もそれなりのしかたで宇宙全体を表現する、ということ。また、その実体概念のうちにはあらゆる出来事が、その出来事をとりまくすべての状況や外部的なものの全系列ともども含まれているということ。(p.25)
10 実体形相という考え方はなにか確固としたものであること。しかし、この形相は現象へといかなる変化も及ぼさないし、また、これが個々の結果の説明にもちいられてはならないこと。(p.26)
11 スコラ学的だといわれる神学者や哲学者の思索が完全に軽視されるべきではないこと。(p.29)
12 延長から成り立つ諸概念はなにか想像的なものを含み、諸物体の実体を構成できないこと。(p.30)
13 各人の個体概念はその人物にいつか起こることを一挙に含むので、あらゆる出来事の真理の、つまりなぜこの出来事であって他ではないのかについての根拠ないしアプリオリな証拠は、この概念のもとに見ることができる。ただしこのような真理は、神と被造物の自由に基礎づけられているのだから、確実ではあってもやはり偶然的である。神にしても被造物にしても、その選択にはつねに根拠があるのだが、この根拠は強いることなく傾けるものなのである。(p.31)
14 神は自身が宇宙についてもつ異なった見えかたに応じて、さまざまな実体を産み出す、そして神の介入により、各実体の固有の本性には、ある実体にしょうじることに対する他のすベての実体に生じることの呼応というものが含まれ、実体相互が直接に作用しはしない。(p.36)
15 ある有限実体の他の有限実体への能動的作用とは、他方の表現が減少することに応じたこの実体の表現の度合いの増大をいう、ただし神はこれら実体をあらかじめ全体として合致するようにしているのである。(p.42)
16 私たちの表現がすべてのものに及んでいるのだから、私たちの本質が表現するもののうちには神の超常的な協働が含まれていることになる。しかし、私たらの本性は有限であるし、一定の下位準則にしたがうものであるから、この神の協働は、私たちの本性つまり私たちの表現の力量を超えている。(p.43)
力学 17~22
17 下位の準則つまり自然法則の例。ここで示されるのはデカルト主義者たちやその他多くのひとびとの主張に反して、神がつねに規則的に保存するのは同じ力であって、同じ運動量ではないことである。(p.46)
18 物体現象を説明しようとすれば、延長から分離された形而上学的考察に依拠しなければならないが、この点を判断するために、運動量と力の区別がとくに重要である。(p.49)
19 自然学における目的因の有効性 (p.51)
20 あまりに唯物論的な哲学者に対する、プラトンの著作におけるソクラテスの忘れがたいー節 (p.54)
21 もし力学の規則がもっぱら幾何学だけに依拠して、形而上学を欠いていたならば、現象はまったくべつのものになるだろう。(p.57)
22 自然を機械論的に説明するびとびと、また非物体的本性に依拠するひとびと双方を納得させるために、目的因を介する道と作用因を介する道を和解させること。(p.58)
人間の悟性 23~29
23 非物質的実体にたちもどって、神がどのようにして精神の悟性に作用するのか、またひとは思考しているものについての観念をつねにもつのかどうか、この点を説明する。(p.61)
24 明晰あるいは曖昧な認識、判明あるいは混雑した認識、十全なあるいは不十全な認識と直観的な認識あるいは推測的認識とはどのようなものか、名目的、事象的、原因的、本質的定義について。(p.63)
25 私たちの認識が観念の観想に結びつくのはどのような場合か。(p.66)
26 私たち自身のうちに観念のすべてをもっていること。プラトンの想起説について。(p.67)
27 私たちの魂がなにも書かれていない書字板[タブラ・ラサ]に喩えられるのは、どのようにしてか。またいかにして私たちの概念は感覚に由来するのか。(p.69)
28 神のみが私たちの外に存在する私たちの知覚の直接的対象であり、ただ神のみが私たちの光である。(p.71)
29 そうはいっても私たちは自身の観念によって直接に思考するのであって、神の観念によって思考するのではない。(p.72)
人間の意志 30~31
30 いかにして神は私たちの魂を傾けながらも強いないのか。私たちには神に対して不平をいう権利がないこと。その自由なおこないはすでにユダの概念に含まれていたのだから、なぜユダが罪を犯したのかということはなくて、なぜ罪人ユダが他の可能的なひとびとをさしおいて現実存在することを許されたのか、という点がもっぱら問われなければならないこと。罪に先だつ不完全性あるいは根源的制限について、さらには恩寵の度合いについて。(p.74)
31 [神の]選択の動因、予見された信仰、中間知、絶対的決定について。またすべては、なぜ神が、恩寵および自由なおこないのある連鎖をその概念のうちに含むある可能的人物を現実存在へと選びだしその承認を決定したのか、その理由に帰着すること。これによりもろもろの困難は解消する。(p.78)
信仰と宗教 32~37
32 敬虔と宗教にかんするこれら諸原理の有効性。(p.81)
33 説明不可能で奇跡的なものとみされていた魂と身体の交通についての説明。また混雑した知覚の起源についての説明。(p.83)
34 精神とそれ以外の実体すなわち魂や実体形相との区別について。ひとが問いもとめる不死性は記憶にかかわること。(p.85)
35 精神の優越性、神はほかの被造物よりもまず精神を考慮すること。精神は世界よりもむしろ神を表現し、それ以外の単純実体は神よりもむしろ世界を表現するということ。(p.86)
36 神はすべての精神から構成されるもっとも完全な共和国の君主であり、この神の国の至福が神の主要な計画である。(p.89)
37 イエス・キリストは人間に天国の神秘とおどろくべき法を、そして神を愛するひとびとには神が準備する最高の至福の大きさを明かした。(p.91)
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37 sections du Discours de métaphysique
http://www.les-bayards.com/nrub/sommairen.htm
37 sections du Discours de métaphysique
Leibniz
1646-1716
Sommaire des sections du discours
Ce sommaire a été envoyé à Arnaud et de là il s’est établi une correspondance entre Leibniz et Arnaud. La controverse entre Arnaud et Leibniz porte avant tout sur la notion de liberté, le déterminisme de Dieu, le libre arbitre.
Pour bien comprendre le discours, il est indispensable de lire cette correspondance.
Leibniz dans son ouvrage « le discours de la métaphysique reprend point par point les 37 sections de ce sommaire.
神 1~ 7
1.de la perfection divine, et que Dieu fait tout de la manière la plus souhaitable.
2. contre ceux qui soutiennent qu’il n’y a point de bonté dans les ouvrages de Dieu ;
ou bien que les règles de la bonté et de la beauté sont arbitraires.
3. contre ceux qui croient que Dieu aurait pu mieux faire.
4. que l’amour de Dieu demande une entière satisfaction et acquiescence touchant ce qu’il fait, sans qu’il faille être quiétiste pour cela.
5. en quoi consiste les règles de la perfection de la divine conduite, et que la simplicité des voies est en balance avec la richesse des effets.
6.que Dieu ne fait rien hors de l’ordre et qu’il n’est pas même possible de feindre des événements qui ne soient point réguliers.
7. que les miracles sont conformes à l’ordre général, quoiqu’ils soient contre les maximes subalternes, et de ce que Dieu veut ou qu’il permet, par une volonté générale ou particulière.
実体 8~16
8. pour distinguer les actions de Dieu et des créatures, on explique en quoi consiste la notion d’une substance individuelle.
9. que chaque substance singulière exprime tout l’univers à sa manière, et que dans sa notion tous ses événements sont compris, avec toutes leurs circonstances et toute la suite des choses extérieurs.
10. que l’opinion des formes substantielles a quelque chose de solide, mais, que ces formes ne changent rien dans les phénomènes et ne doivent point être employées
pour expliquer les effets particuliers.
11. que les méditations des Théologiens et des philosophes qu’on appelle scolastiques ne sont pas à mépriser entièrement.
12. que les notions qui consistent dans l’étendue enferment quelque chose d’imaginaire et ne sauraient constituer la substance du corps.
13. comme la notion individuelle de chaque personne enferme une fois pour toutes ce qui lui arrivera jamais, on y voit les preuves a priori de la vérité de chaque événement, ou pourquoi l’un est arrivé plutôt que l’autre. Mais ces vérités, quoique assurée, ne laissent pas d’être contingentes, étant fondées sur le libre arbitre de Dieu ou des créatures, dont le choix a toujours ses raisons qui inclinent sans nécessiter.
14. Dieu produit diverses substances selon les différentes vues qu’il a de l’univers, et par l’intervention de Dieu la nature propre de chaque substance porte que ce qui lui arrive à l’une répond à ce qui arrive à toutes les autres, sans qu’elles agissent immédiatement l’une sur l’autre.
15. l’action d’une substance finie sur l’autre ne consiste que dans l’accroissement du degré de son expression joint à la diminution de celle de l’autre, autant que Dieu les oblige de s’accommoder ensemble.
16. le concours extraordinaire de Dieu est compris dans ce que notre essence exprime, car cette expression s’étend à tout, mais il surpasse les forces de notre nature ou notre expression distincte, laquelle est finie et suit certaines maximes subalternes.
力学 17~22
17. exemple d’une maxime subalterne ou loi de la nature, où il est montré que Dieu conserve toujours la même force, mais non pas la même quantité de mouvement, contre les cartésiens et plusieurs autres.
18. la distinction de la force et de la quantité de mouvement est importante entre autres pour juger qu’il faut recourir à des considérations métaphysiques séparées de l’étendue afin d’expliquer les phénomènes des corps.
19 utilité des causes finales dans la physique.
20. passage remarquable de Socrate chez Platon contre les philosophes trop matériels.
21. si les règles mécaniques dépendaient de la seule géométrie sans la métaphysique, les phénomènes seraient tout autres.
22. conciliation des deux voies par les finales et par les efficientes pour satisfaire tant à ceux qui expliquent la nature mécaniquement qu’à ceux qui ont recours à des natures incorporelles.
人間の悟性 23~29
23 pour revenir aux substances immatérielles, on explique comment Dieu agit sur l’entendement des esprits et si on a toujours l’idée de ce qu’on pense.
24. ce que c’est une connaissance claire ou obscure ; distincte ou confuse, adéquate et intuitive ou suppositive ; définition nominale, réelle, causale, essentielle.
25. en quel cas notre connaissance est jointe à la contemplation de l’idée.
26. que nous avons en nous toutes les idées; et de la réminiscence de Platon.
27 comment notre âme peut –être comparée à des tablettes vides et comment nos notions viennent des sens.
28.Dieu seul est l’objet immédiat de nos perceptions qui existe hors de nous, et lui seul est notre lumière.
29. cependant nous pensons immédiatement par nos propres idées et non par celles de Dieu.
人間の意志 30~31
30. comme Dieu incline notre âme sans la nécessiter ; qu’on n’a point le droit de se plaindre, et qu’il ne faut point demander pourquoi Judas pèche, mais seulement pourquoi Judas le pécheur est admis à l’existence préférablement à quelques autres personnes possibles . De l’imperfection originale avant le péché, et des degrés de la grâce.
31 des motifs de l’élection, de la foi prévue, de la science moyenne, du décret absolu, et que tout se réduit à la raison pourquoi Dieu a choisi pour l’existence une telle personne possible, dont la notion enferme une telle suite de grâces et d’actions libres ; ce qui fait cesser tout d’un coup les difficultés.
信仰と宗教 32~37
32 utilité de ces principes en matière de piété et de religion.
33. explication de l’union de l’âme et du corps qui a passé pour inexplicable ou pour miraculeuse, et de l’origine des perceptions confuses.
34. de la différence des esprits et autres substances, des âmes ou formes substantielles, et que l’immortalité qu’on demande importe le souvenir.
35. excellence des esprits, et que Dieu les considère préférablement aux autres créatures. Que les esprits expriment plutôt Dieu que le monde, mais que les autres substances simples expriment plutôt le monde que Dieu.
36. Dieu est le monarque de la plus parfaite république composée de tous les esprits, et la félicité de cette cité de Dieu est son principal dessein.
37. Jésus- Christ a découvert aux hommes le mystère et les lois admirables du royaume des cieux et la grandeur de la suprême félicité que Dieu prépare à ceux qui l'aiment.
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http://www.webpages.uidaho.edu/mickelsen/texts/leibniz%20-%20correspondence.htm
Summary of the Discourse on Metaphysics
神 1~ 7
1. Concerning the divine perfection and that God does everything in the most desirable way.
2. Against those who hold that there is in the works of God no goodness, or that the principles of goodness and beauty are arbitrary.
3. Against those who think that God might have made things better than he has.
4. That love for God demands on our part complete satisfaction with and acquiescence in that which he has done.
5. In what the principles of the perfection of the divine conduct consist and that the simplicity of the means counterbalances the richness of the effects.
6. That God does nothing which is not orderly and that it is not even possible to conceive of events which are not regular.
7. That miracles conform to the general order although they go against the subordinate regulations; concerning that which God desires or permits and concerning general and particular intentions.
実体 8~16
8. In order to distinguish between the activities of God and the activities of created things, we must explain the conception of an individual substance.
9. That every individual substance expresses the whole universe in its own manner, and that in its full concept is included all its experiences together with all the attendant circumstances and the whole sequence of exterior events.
10. That the belief in substantial forms has a certain basis in fact but that these forms effect no changes in the phenomena and must not be employed for the explanation of particular events.
11. That the opinions of the theologians and of the so-called scholastic philosophers are not to be wholly despised.
12. That the conception of the extension of a body is in a way imaginary and does not constitute the substance of the body.
13. As the individual concept of each person includes once for all everything which can ever happen to him, in it can be seen a priori the evidences or the reasons for the reality of each event and why one happened sooner than the other. But these events, however certain, are nevertheless contingent being based on the free choice of God and of his creatures. It is true that their choices always have their reasons but they incline to the choices under no compulsion of necessity.
14. God produces different substances according to the different views which he has of the world and by the intervention of God the appropriate nature of each substance brings it about that what happens to one corresponds to what happens to all the others without, however, their acting upon one another directly.
15. The action of one finite substance upon another consists only in the increase in the degree of the expression of the first combined with a decrease in that of the second, in so far as God has in advance fashioned them so that they should accord.
16. The extraordinary intervention of God is not excluded in that which our particular essences express because this expression includes everything. Such intervention however goes beyond the power of our natural being or of our distinct expression because these are finite and follow certain subordinate regulations.
力学 17~22
17. An example of a subordinate regulation in the law of nature which demonstrates that God always preserves the same amount of force but not the same quantity of motion; against the Cartesians and many others.
18. The distinction between force and the quantity of motion is, among other reasons, important as showing that we must have recourse to metaphysical considerations in addition to discussions of extension, if we wish to explain the phenomena of matter.
19. The utility of final causes in physics.
20. A noteworthy disquisition by Socrates in Plato's Phaedo against the philosophers who were too materialistic.
21. If the mechanical laws depended upon geometry alone without metaphysical influences, the phenomena would be very different from what they are.
22. Reconciliation of the two methods of explanation, the one using final causes and the other efficient causes, thus satisfying both those who explain nature mechanically and also those who have recourse to incorporeal natures.
人間の悟性 23~29
23. Returning to immaterial substances we explain how God acts upon the understanding of spirits, and ask whether one always keeps the idea of what he thinks about.
24. What clear and obscure, distinct and confused, adequate and inadequate, intuitive and assumed knowledge is, and the definition of nominal, real, causal and essential.
25. In what cases knowledge is added to mere contemplation of the idea.
26. Ideas are all stored up within us. Plato's doctrine of reminiscence.
27. In what respect our souls can be compared to blank tablets and how conceptions are derived from the senses.
28. The only immediate object of our perceptions which exists outside of us is God and in him alone is our light.
29. Yet we think directly by means of our own ideas and not through God's.
人間の意志 30~31
30. How God inclines our souls without necessitating them; that there are no grounds for complaint; that we must not ask why Judas sinned because this free act is contained in his concept, the only question being why Judas the sinner is admitted to existence, preferably to other possible persons; concerning the original imperfection or limitation before the fall and concerning the different degrees of grace.
31. The motives for election, faith foreseen, partial knowledge, the absolute decree and that the whole inquiry is reduced to the question why God has chosen and resolved to admit to existence such a possible person whose concept involves such a sequence of gifts of grace and of free acts. This at once overcomes all the difficulties.
信仰と宗教 32~37
32. Applicability of these principles in matters of piety and of religion.
33. Explanation of the inter-relation of soul and body which has been usually considered inexplicable and miraculous; also concerning the origin of confused perceptions.
34. The difference between spirits and other substances, souls or substantial forms, and that the immortality which people wish for includes remembrance.
35. Excellence of spirits; that God considers them preferably to the other created things; that spirits express God rather than the world while other simple substances express rather the world than God.
36. God is the monarch of the most perfect republic which is composed of all the spirits, and the felicity of this city of God is his principal purpose.
37. Jesus Christ has disclosed to men the mystery and the admirable laws of the Kingdom of Heaven and the greatness of the supreme happiness which God has prepared for those who love him.
フランス語
http://books.google.co.jp/books?id=FCFIgWLOwjQC
A1~12、
B13~25、
C26~37